La complexité de l'occlusion dentaire: Diagnostic et traitement

– De démystifier l’occlusion dentaire , souvent considérée comme une matière ésotérique
– D’obtenir non une occlusion idéale (vue par l’esprit) mais une occlusion fonctionnelle
– De comprendre ce qu’est une activité motrice et quels sont les éléments mis en jeux lors de d’une acte moteur.

– De savoir utiliser un questionnaire dédié à l’occlusion et à la posture, savoir
– De poser les bonnes questions au patient en fonction du motif de consultation
– De reconnaître les douleurs référées set savoir remonter aux points-détentes (trigger points) responsables de ces douleurs référées
–  De mener un examen clinique rigoureux qui doit être en relation avec les réponses faites par le patient pour savoir s’il y a une concordance ou pas
– De savoir palper les muscles
– Comment interpréter ces douleurs ou ces sensibilités à la palpation
– D’apprendre à apprécier le contraction des masséters
– D’apprendre à faire les tests de force contre résistance.

– De comprendre l’utilité de l’EMGS pour étudier l’activité électrique des muscles manducateur et du SCOM
– De savoir réaliser une EMGS correcte
– D’interpréter les différents enregistrements pour en dégager des éléments essentiel pour construire le diagnostic
– De savoir s’il y a corrélation entre l’examen clinique et l’EMGS.

– Si la position de repos est stable
– Quel type de traitement occlusal devrait être envisagé même si à ce stade, il ne s’agit que d’une hypothèse car la position de départ (posture mandibulaire) est le plus souvent adaptative
– Si la déglutition est normale ou atypique
– De savoir s’il y a une relation entre la clinique et ces enregistrements. Il est facile de voir cliniquement la composante frontale du mouvement en revanche il est impossible d’analyser cliniquement la composante sagittale de ces mouvements
– De visualiser si la limitation latérale est en relation avec une dysfonction articulaire ou si la guidance dentaire est trop contraignante (pente canine par exemple)
– Quel est le type de dysfonction de l’ATM (arthrose, luxation discale irréductible ou non)
– Si il y a corrélation entre le questionnaire, la clinique et MAC 2b.

– Les différents examens radiologiques sont abordés : CBCT, CT-Scan, IRM
– Quel examen prescrire en fonction des symptômes présentés par le patient
– Interpréter ces examens.

– Nous avons recueilli tous les indices nécessaires à l’établissement du diagnostic
– Comment faut-il les relier les uns aux autres pour établir un diagnostic positif et différentiel, c’est l’objectif de cette leçon
– À partir d’exemples cliniques, les apprenants s’exerceront à résoudre les problématiques posées par ces exemples et établir pour finir un diagnostic
– Il est impératif d’être capable de savoir si on peut, ou on doit changer la relation inter arcade.

– D’apprendre à utiliser les TENS
– Comment les installer
– Comment les TENS agissent sur les muscles
– D’apprendre à enregistrer les mouvement rythmiques de la mandibule et l’occlusion à partir d’une position posturale mandibulaire physiologique
– De positionner sur la trajectoire la nouvelle relation inter-arcade
– De comprendre la démarche thérapeutique
– Comment réaliser une coronoplastie soit en utilisant les TENS ou en utilisant un appareil d’enregistrement électronique des contacts dentaires
– Comment réaliser des orthèses dentaires dont la conception est entièrement numérisée dans les cas où une augmentation de la DVO était nécessaire soit pour des raisons esthétiques soit pour supprimer les symptômes.